Si tant la Déclaration universelle des Droits de l’Homme - «Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits (...) doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité» - que la loi donnant obligation de «porter assistance à personne en danger» portent en germe la notion de «solidarité», les récentes politiques migratoires sont venues y accoler la notion de «délit». Aider, accueillir à titre individuel ou associatif une personne en situation illégale d’exil serait-il répréhensible ? # Sport et plein air, avril 2019
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